vendredi 29 janvier 2010

LE CNI SOUTIENT DOMINIQUE DE VILLEPIN

Le CNI se félicite de la décision de justice qui met hors de cause Dominique de Villepin dans l’affaire Clearstream.

« Des manipulateurs ont monté une opération condamnable dans laquelle ils ont voulu entraîner l’ancien Premier Ministre. Celui-ci n’est pas impliqué. C’est une vérité importante pour la République et pour les valeurs démocratiques » déclare Gilles Bourdouleix, Président du CNI, Député-maire de Cholet.
Cela permettra, en outre, à Dominique de Villepin d’apporter sa vision de la politique de la France dans les années qui viennent » ajoute-il,


Sa devise : « Le courage de dire, la volonté de faire » Soucieux du respect des électeurs, le CNI reste fidèle aux préceptes de ses fondateurs selon lesquels :
« La Société ne peut promettre que ce qu’elle peut donner, mais doit donner tout ce qu’elle a promis ».

Quatre thèmes principaux forment la colonne vertébrale du mouvement :
LA LIBERTE - LA RESPONSABILITE - LE PROGRES - L’INDEPENDANCE

jeudi 28 janvier 2010

LA MAJORITE PRESIDENTIELLE SANS LE CNI ?






En l'absence de propositions concrètes pour les élections régionales de la part de l'UMP, le CNI prend acte de cette attitude inamicale à son égard et se considère exclu de fait de la majorité présidentielle.

Le CNI soutiendra et participera à la constitution de listes indépendantes. La liberté de vote sera laissée aux électeurs du second tour si le CNI n'est pas présent.

« Nous donnons rendez-vous à l'UMP pour les prochaines échéances nationales qui s'annoncent dans un futur proche » déclare Gilles Bourdouleix, Président du CNI et Député-Maire de Cholet.

« Nous constituons une force d'appoint à droite que nos partenaires ont tort de dédaigner » conclut-il.




A propos du CNI

Présidé depuis octobre 2009 par le Député-Maire de Cholet, le CNI est un membre actif de la droite républicaine et s’affirme comme l'autre voix et l'autre voie au sein de la majorité présidentielle.

Sa devise : « Le courage de dire, la volonté de faire » Soucieux du respect des électeurs, le CNI reste fidèle aux préceptes de ses fondateurs selon lesquels :
« La Société ne peut promettre que ce qu’elle peut donner, mais doit donner tout ce qu’elle a promis ».


Quatre thèmes principaux forment la colonne vertébrale du mouvement :
LA LIBERTE - LA RESPONSABILITE - LE PROGRES - L’INDEPENDANCE

samedi 16 janvier 2010

"Nicolas Sarkozy drague le CNI"

MAIN BASSE SUR TOUTE LA DROITE ?
Rien, dans la zone d’influence de l’UMP, ne doit échapper à l’emprise de Nicolas Sarkozy. Après la mise au pas du MPF de Philippe de Villiers, après la neutralisation de CPNT, après celle des étudiants de l’UNI appelés à rouler pour le Mouvement étudiant, le chef de l’Etat veut maintenant « normaliser »le Centre national des Indépendants, un CNI justement un peu trop… indépendant.
Selon nos informations, des discussions sont en cours entre la direction du CNI et celle de l’UMP pour par venir à un accord en vue des prochaines élections régionales.
Notamment dans la région Pays-de-la-Loire où le CNI est implanté et actif et que le parti présidentiel rêve toujours de reprendre à la gauche. En 2004, le Parti socialiste, allié à toute la gauche, des Verts au PCF, était parvenu, avec 52,36% des suffrages, à mettre dans sa musette ce qui était jus- qu’a lors un fief de droite, dirigé durant un quart de siècle par le « baron du gaullisme » Olivier Guichard, puis, de 1998 à 2002, par un certain François Fillon.
En négociations avec Xavier Bertrand
Le CNI, d’orientation libéral-conservatrice, a plusieurs particularités. En plus d’être le plus ancien parti de la droite française – il a été créé en 1949 –, il est la seule formation de la majorité présidentielle à ne pas avoir intégré le comité de liaison de cette dernière présidé par le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Une conséquence du désamour réciproque entre les deux formations depuis que le CNI a quitté l’UMP en juin2008. S’il n’est apparemment pas question pour le CNI de réintégrer la formation sarkozyste, sa taille disons… relative ne lui permet pas d’envisager de présenter des listes autonomes aux régionales.
Or il se trouve que son nouveau président, Gilles Bourdouleix, élu à l’unanimité le 24octobre dernier, est justement député-maire de Cholet, dans le Maine-et-Loire. Une occasion en or pour que Gilles Bourdouleix (qui fut membre de l’UDF jusqu’en 2002) renoue des contacts avec le secrétaire général de l’UMP, Xavier Bertrand, tout en continuant à marquer sa différence, réclamant par exemple la suppression des départements et celle de l’ISF.
Le président du CNI appuie aussi ses positions sur des élus de terrain comme l’ancien maire de Royan, Philippe Most, ou le premier édile du VIIIe arrondissement de Paris, François Lebel, l’homme qui a marié… Nicolas Sarkozy et Carla Bruni. A en croire son entourage, Bourdouleix a entrepris depuis deux mois « de sortir le CNI de sa léthargie », ce qui n’est pas très gentil pour son prédécesseur, Annick du Roscoät, qui a présidé le parti du rant neuf ans, a justement réussi à l’extraire de la satellisation dans laquelle il était confiné depuis les années Chirac et était même parvenue, malgré les offensives menées par l’UMP pour la faire renoncer, à présenter une liste autonome aux élections européennes de juin dernier en Ile-de-France.
Quoi qu’on pen se par ailleurs de l’utilité de cet te liste, Annick du Roscoät avait tenu bon. Puis elle avait soutenu la candidature de Gilles Bourdouleix à sa succession, sur une ligne, juste ment, de distanciation préservée avec l’UMP. Cela n’avait pas été du goût de Christian Vanneste, le député du Nord, qui, favorable à un retour dans le giron présidentiel, avait claqué la porte du parti. Sans grandes conséquences d’ailleurs, puisque la quasi-totalité de la fédération du Nord est restée au CNI…
Le « bon coup » de François Dubout
Dans le Nord-Pas-de-Calais, le CNI vient de démontrer sa capacité à rassembler à la droite de l’UMP. Au conseil régional, le président de sa fédération du Pas-de-Calais, François Dubout a réussi à créer un groupe des « Nationaux et Indépendants », qu’il préside.
Le but de « Nationaux et Indépendants »? Soit constituer une liste intitulée « Mouvement Ch’ti » aux prochaines régionales, face à Marine Le Pen, afin de négocier leurs suffrages au profit de l’UMP pour le second tour; soit, et c’est le plus vraisemblable, placer le tout nouveau président de groupe, François Dubout, en position de figurer en bonne place sur la liste de la majorité présidentielle. Là aussi, les pourparlers sont en cours.

Une autre preuve de l’intérêt que Sarkozy porte au CNI est visible.Le Mercredi 6 janvier, c’est à Cholet que le président de la République a présenté ses vœux aux « forces économiques du pays ». Raison officielle (même si le choix de Cholet, lui, ne l’est pas encore) du choix élyséen: avec moins de 3% de chômeurs, la ville est un (rare) modèle de développement industriel. L’an dernier, c’est à Vesoul que Nicolas Sarkozy avait présenté ses vœux aux « forces vives »; la ville d’Alain Joyandet, secrétaire d’Etat à la Coopération et tête de liste de l’UMP pour les régionales en Franche-Comté. De source élyséenne, on jure toutefois que seule l’impérieuse nécessité de faire passer aux Français un message économique positif a fait opter pour Cholet.
La bonne gestion des collectivités dirigées par le CNI – et par le MPF – dans l’Ouest impressionnerait en effet les conseillers du président de la République, dont le libéral-conservatisme n’est pas la doctrine officielle. Claude Guéant et Henri Guaino appartiennent à une tradition étatiste située à des années-lumière du pragmatisme d’un Villiers ou d’un Bourdouleix. De quoi intéresser Sarkozy, dépassé qu’il est par les fermetures industrielles et la hausse du chômage ? Mélange de nostalgiques du RPR, d’indépendants de toujours et de nationaux refusant la marginalisation politique (François Dubout ou Hubert Fayard, ancien bras droit de Bruno Mégret, à Vitrolles), le CNI estime aujourd’hui qu’il ne peut pas jouer de rôle politique s’il reste totalement à part. Nicolas Sarkozy, lui, veut regrouper toute la « famille » de droite. En valorisant les atouts de chacun, condition sine qua non… d’un soutien à sa personne. Il n’y a pas que les régionales à être lancées; la présidentielle aussi.

mardi 5 janvier 2010

Pourquoi adhérer au CNI ? Quelles différences avec l'UMP ?




Chers amis,

La première réponse se trouve dans le "i" de CNI : l'indépendance.
C'est d'ailleurs à la fois un paradoxe et une gageure de fédérer les indépendants. Par définition, ils sont allergiques à l'enfermement dans une structure. Mais la politique pratiquée dans la solitude a ses limites. C'est la force du CNI que de réunir ceux qui finiraient par se décourager d'être seuls.

L'UMP ne permet pas l'expression d'une pensée indépendante. C'est un constat, à peine un reproche. L'UMP est devenue une machine électorale avec un objectif : gagner l'élection présidentielle et un moyen : suivre la mode.

Le CNI se positionne comme l'autre voix et donc l'autre voie au sein de la majorité présidentielle. L'équilibre harmonieux permettrait que la diversité assumée des idées n'empêchât point l'union déterminée dans l'action.
Il faut croire à cet équilibre.

A être devenue un fourre-tout seulement motivée par les élections nationales, l'UMP a perdu son socle de convictions.
Un simple exemple qui résume tout : l'ouverture. Une véritable et crédible ouverture aurait consisté à convaincre un courant entier de l'opposition de rejoindre la majorité, séduit par un projet commun. Il n'est pas évident que des débauchages individuels de personnes en mal de hochets ressemblent à une ouverture au sens noble. Dans un sursaut d'indulgence, acceptons-le.
Mais qu'un homme qui a fait sa carrière au PS, qui a changé de camp par dépit se retrouve secrétaire général adjoint de l'UMP tout en animant un groupuscule de gauche, on atteint l'inacceptable pour ne pas dire l'impardonnable.

On balaie en effet le sens fondamental d'un parti politique qui doit fédérer autour de convictions, pour créer un conglomérat au service d'une ambition personnelle.

C'est le défi que les indépendants entendent relever : la fierté des convictions. Le CNI est un parti de droite. Pas la droite de la droite. Ce positionnement est caricatural et n'a aucun sens idéologique. Le CNI est à droite, avec l'exigence de refuser l'idée que ce mot serait négatif. Tout le monde semble désormais vouloir être au centre. La droite est une référence à des valeurs enracinées qui sont synonymes d'un progrès alliant croissance économique et solidarité sociale.

Je rappellerai quelques unes de ces valeurs dans lesquelles s'inscrit notre projet.
- La famille, cellule fondatrice de toute société, où se construisent les principes moraux de la communauté humaine.-

La jeunesse, miroir paradoxal de la société de demain, qui se façonne par les choix d'aujourd'hui.-

La liberté, qu'elle soit de penser, de voter ou d'entreprendre.-

Le développement durable, encre avec laquelle s'écrira notre avenir ou sans laquelle se tracera le mot fin de l'humanité.-

La Nation, riche de son histoire, respirant dans un Etat fort mais décentralisé, protégée par une justice indépendante mais équitable, protectrice grâce à une sécurité sans faille mais respectueuse, régulée avec une immigration généreuse mais raisonnable.

C'est la France, tout simplement.C'est la France que nous aimons.C'est la France, unie et indépendante.

Mais indépendance signifie liberté, liberté signifie débat. C'est le refus du consensus mou qui fait naviguer en fonction de l'opinion supposée des électeurs.
L'indépendance est un combat exigeant. Il est plus facile de se glisser dans la masse pour essayer de gagner telle ou telle récompense.

Nous avons besoin de tous les talents.Nous avons besoin de toutes les énergies.

Ma volonté est de porter, avec et pour vous, les convictions que nous partageons.

Chacun doit pouvoir apporter sa pierre à l'édifice commun.

Rejoignez-nous ! Adhérer au CNI !

Je vous adresse mes vœux les plus chaleureux pour 2010.


Gilles BOURDOULEIX
Président du CNI
Député-Maire de Cholet

lundi 4 janvier 2010

Notre président accueil Le PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Le Président de la République se rendra mercredi 6 janvier 2010 à Cholet (Maine-et-Loire) à l’occasion des vœux aux forces économiques.
Le chef de l’Etat sera accompagné de Mme Christine LAGARDE, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, de M. Eric WOERTH, ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat, de Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la Santé et des Sports, de M. Christian ESTROSI, ministre chargé de l’Industrie, de M. Laurent WAUQUIEZ, secrétaire d’Etat chargé de l’Emploi, de M. Hervé NOVELLI, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation, et de Mme Anne-Marie IDRAC, secrétaire d’Etat chargée du Commerce Extérieur.


Arrivée à l’usine Thales Communications de Cholet à 11h15

Visite du centre Recherche et Développement et rencontre avec les sous-traitants localement implantés.
Présentation du programme Syracuse III financé dans le cadre du plan de relance • Présentation de produits de haute technologie.
Rencontre informelle avec des salariés de l’usine .

12h00 Allocution de M. le Président de la République dans le cadre des vœux aux forces économiques (Salle des fêtes communale de Cholet)